Deux pistes sont souvent retenues :
- développer, pour les startups, l’accès aux marchés financiers ;
- faire émerger un marché européen du capital-risque, où les tickets d'investissement, qui seraient à la mesure de l'échelle européenne, pourraient rejoindre les tickets proposés outre-atlantique.
- mettre en place un référentiel au niveau européen de valorisation du capital immatériel de l’entreprise.
Ces actifs sont par exemple l'équipe dirigeante, les brevets, les clients, la réputation,...
Pour valoriser ce capital immatériel, il existe de nombreuses écoles dès lors que l'on se place au niveau européen. Pour la France, on peut repérer une école proposée par l'Observatoire de l'Immatériel et des approches avancées par des professeurs-chercheurs [2].
Un référentiel au niveau européen de valorisation du capital immatériel de l'entreprise serait une aide appréciable pour les investisseurs européens
[1] Accès à la proposition du secrétariat d’État au numérique
[2] Pour une idée du foisonnement des approches : Reporting Intellectual Capital to Augment Research, Development and Innovation in SMEs - Report to the Commission of the High Level Expert Group on RICARDIS , European Communities, 2005, ainsi qu'un retour de la Table Ronde Franco-Allemande sur les Actifs Immatériels (Paris, 26 septembre 2011).